Biographie de Bernard Adamus
Polonais de 31 ans, déménagé au Québec au début des années 80,Adamus a grandi a Montréal.Il avait 3 ans lorsque sa mère a décidé de fuir avec ses deux bambins une Pologne politiquement instable.Ça a mené tout le pays dans une grève majeure.''Ma mère a eu le 'guts' de foutre le camp avec ses deux enfants.Elle m'a permis de grandir au Québec et je lui en serai toujours reconnaissant.Bernard Adamus,traversais pendant un temps la frontière à Saint-Bernard-de-Lacolle pour vendre des sapins de Noël a New York.Grâce à ses neuf ans d’expérience, il était devenu un vendeur habile, capable de gagner (au noir) plus de 10 000 $ en seulement un mois de travail.Or, il y a un peu moins d’un an, un douanier américain lui a refusé l’accès aux États-Unis. "Il m’a dit: "Toé, on le sait que tu vas vendre des sapins pis que t’as pas les papiers pour travailler aux États-Unis. Retourne chez vous." Ça a été dur sur le coup, mais aujourd’hui, je peux te dire que c’est l’une des meilleures choses qui me soit arrivées", me lance Bernard Adamus, le sourire en coin.C'est formation académique ont été:le mont Saint-Louis, Cégep St-Laurent et l'UQAM.Bernard Parle et écrit comme s’il était encore dans la rue,il parle de la rue comme de la place ou est-ce qu'il vit,il prend le plus souvent le parti du simple citoyen,du pauvre,de ceux pour qui la vie n'est pas un long fleuve tranquille.Il nous montre que c'est possible de faire du blues,en français,sans être quétaine ou pire... platte.Il arrive quand même a nous ramenez un peu Dédé,Plume et certain dirait Dylan, mais ...je crois que ce n'était rien de plus qu'une de ces centaines d'inspirations.Son album brun sonne très juste,très vrai,avec le blues jamais bien loin et des propos qui décrivent la vie des gens de 20,30 ans qui ont de la difficulté à joindre les deux bouts,à trouver leur raison d'être.Je l'aime donc... ;)
Polonais de 31 ans, déménagé au Québec au début des années 80,Adamus a grandi a Montréal.Il avait 3 ans lorsque sa mère a décidé de fuir avec ses deux bambins une Pologne politiquement instable.Ça a mené tout le pays dans une grève majeure.''Ma mère a eu le 'guts' de foutre le camp avec ses deux enfants.Elle m'a permis de grandir au Québec et je lui en serai toujours reconnaissant.Bernard Adamus,traversais pendant un temps la frontière à Saint-Bernard-de-Lacolle pour vendre des sapins de Noël a New York.Grâce à ses neuf ans d’expérience, il était devenu un vendeur habile, capable de gagner (au noir) plus de 10 000 $ en seulement un mois de travail.Or, il y a un peu moins d’un an, un douanier américain lui a refusé l’accès aux États-Unis. "Il m’a dit: "Toé, on le sait que tu vas vendre des sapins pis que t’as pas les papiers pour travailler aux États-Unis. Retourne chez vous." Ça a été dur sur le coup, mais aujourd’hui, je peux te dire que c’est l’une des meilleures choses qui me soit arrivées", me lance Bernard Adamus, le sourire en coin.C'est formation académique ont été:le mont Saint-Louis, Cégep St-Laurent et l'UQAM.Bernard Parle et écrit comme s’il était encore dans la rue,il parle de la rue comme de la place ou est-ce qu'il vit,il prend le plus souvent le parti du simple citoyen,du pauvre,de ceux pour qui la vie n'est pas un long fleuve tranquille.Il nous montre que c'est possible de faire du blues,en français,sans être quétaine ou pire... platte.Il arrive quand même a nous ramenez un peu Dédé,Plume et certain dirait Dylan, mais ...je crois que ce n'était rien de plus qu'une de ces centaines d'inspirations.Son album brun sonne très juste,très vrai,avec le blues jamais bien loin et des propos qui décrivent la vie des gens de 20,30 ans qui ont de la difficulté à joindre les deux bouts,à trouver leur raison d'être.Je l'aime donc... ;)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire